Élémentia
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Élémentia est de retour. Des archéologues ont touvés le livre de la prophétie et l'on fait rennaître!
 
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 Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose

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Kristy Kémi

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MessageSujet: Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose   Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose Icon_minitimeSam 4 Avr - 15:50

Prologue

Il y a des vies faciles, les vies dont on n’a pas besoin de se forcer pour tout avoir. Puis il a les moyennement facile, celles dont travaillé correctement est parfait pour
faire vivre tout le monde. Puis, il y a les vies ou rien ne va. L’argent entre aussi rapidement qu’elle sort. Où la drogue, l’alcool est nécessaire et où l’homme bat sa femme. Ce n’est pas une bonne vie pour les enfants qui se retrouvent souvent à traîner dans les rues et qui cause le trouble pour ceux à la belle vie

C'est le cas d'Élisabeth. Son père frappe avec joie sa femme quand elle le contredit ou dit quelque chose qui ne lui plait pas. Il ne bat pas sa fille car elle a beaucoup trop de force et d'agilité pour lui. Énorme comme il est, avec son ventre remplit de graisse et la bouteille de bière à la main, il n'arriverait même pas a touché la mince et svelte Élisabeth. De plus qu'elle sait se battre.

Chaque matin, elle quitte la maison mobile pour se rendre à l’école publique. Elle ne revient pas avant minuit où elle va se coucher pour se lever six heures plus tard. Les rares fois où son père est conscient quand elle arrive, il est beaucoup trop saoul pour pouvoir dire quoi que ce soit. La fin de semaine, elle se lève plus tard, mais n’arrive jamais a échappé l’engueulade avec son père. Parfois, sa mère prend sa défense, mais reçois aussitôt un coup au visage. Alors, Élisabeth frappe son propre père et l’envois balader avant de partir en claquant la porte.

Un jour, son père, pris d’une si grande colère contre la réplique de sa femme, commença à la battre jusqu’à lui enlever la vie. Élisabeth appelle la police et fuit aussitôt. Deux jours plus tard, elle regarde sur la une du journal l’arrestation de son père pour avoir tuer sa femme et d’avoir abuser de celle-ci. Ils marquaient aussi sa disparition.

Seulement une semaine plus tard, elle fut retrouvée par la police qui, la trouvant trop dangereuse pour une famille d’accueil, l’envoyèrent dans un centre de délinquance.

C’est là que commence réellement l’histoire.
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Saikyou
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Saikyou


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MessageSujet: Re: Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose   Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose Icon_minitimeDim 5 Avr - 14:31

Super Bon! Continue!
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Stacy Rockhood

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MessageSujet: Re: Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose   Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose Icon_minitimeDim 12 Avr - 22:26

Chapitre 1




Une adolescente marchait vers une maison à la porte vitrée. Sur et à
côté des escalier de pierre se trouvait cinq gars d'environ le même âge que l'adolescente. Ils devaient avoir entre 15 et 17 ans. Ils 'amusaient à faire peur à toutes les filles qui s'approchaient d'eux.


Élisabeth marchait vers cet endroit. Portant un simple chandail noir, une jupe de la même couleur, des bas rayés noir et mauve et une paire de bottes noires. Un des cinq gars la remarqua et siffla. Les autres éclatèrent de rire. Sans les laissés la troublé, elle continua son chemin. L'un d'eux s'exclama :


-Elle a du courage, cette mignonne! Dit, c'est quoi ton jolie nom?
-La ferme, tu va la gêner!




Elle arriva finalement devant l'escalier. Elle s'arrêta et se tourna vers celui assit dans les marches.

-Tu veux mon portrait?

Un des cinq garçon se leva et s'approcha d'Élisabeth. Il passa son bras sur les épaules de l'adolescente et déclara :




-En tout cas, je voudrais le sien!

Sans prévenir, elle frappa se son poing le visage du gars. Saignant du nez, il recula, dévisageant la jeune femme. Trois des gars autres gars se levèrent et s'approchèrent.

-Hey! Boss, ça va?
-J'ai l'air d'aller!

Le dernier, celui assit dans les marches, se leva et s'imposa devant Élisabeth.

-Tu cherches la bagarre?
-Étienne, ça suffit!

Il se retourna. Une femme, d'environ 23 ans, se tenait dans le cadre de la porte d'entrée. Elle s'avança vers Élisabeth et dit, d'une voix sympathique :


-Élisabeth! Je t'attendais justement. Je viens de terminer ta chambre. Vas-y, entre! Je vais te faire faire le tour des lieux. Jake, va tout de suite à la salle de bain nettoyer ton nez.

L'adolescente entra, suivit par la femme et par les regards interrogateur des cinq garçons présents.

-Comment ça, elle l'attendait?
-J'ai l'air de m'en soucier? Laisse moi passé, je vais allez au toilette.

Le chef des délinquants entra dans la maison et se dirigea vers la salle de bain. Il attendit que son nez arrête de saigner pour y mettre un pansement dessus (simplement pour le look) et sortir de la pièce. Il allait ressortir à l'extérieur quand il entendit la voix du sergent policier :

-Vous êtes absolument certaine que cela ne vous dérange pas.
-Absolument. Élisabeth sera bien mieux ici que chez ses parents.
-Laissez moi vous rappelez que son père à tuer sa mère à coup de poing. Il serait dangereux de la laisser simplement ici!
-C'est mieux qu'elle reste ici. Son père est condamné de prison à vie dans une prison à des kilomètres d'ici. Elle aura un meilleur environnement de vie, une nouvelle école sans son passé qui la poursuivrait.
-Bon. Je vous laisse quand même une semaine. Si elle devient trop agressive, elle pars d'ici.
-Bien sûr.


Le sergent sorti de la cuisine. Élisabeth était dans sa nouvelle chambre à sortir ses choses et à s'habituer à son nouvel environnement. Ce n'est pas tous les jours que l'on passe d'une roulotte délabré à une grande chambre dans une maison avec un climat beaucoup plus agréable.


La femme remarqua l'adolescent au pansement dans le couloir.

-Aller, viens, Jake.
-Je peux savoir c'est qui, elle?

Il entra dans la cuisine.

-Élisabeth Larose. Son père a battu sa mère à mort. Elle va rester ici sous surveillance. Le sergent croit que le père va tenter de sortir de prison pour tuer sa propre fille.
-Sympa...Elle est pas mal agressive pour une fille. C'est bien la première à me
frapper.

-Imagine un peu de voir ta mère soumise à ton père et se faire battre à chaque fois qu'elle le contredit. Elle a finit par s'endurcir et défendre sa propre mère à coup de poing et d'engueulade.

Jake haussa les épaules et déclara :

-Je ne sais pas ce que c'est.
-C'est comme si tu battais un de tes amis et qu'il serait complètement soumis, sans aucune forme d'amitié.
-Mouais...je comprends un peu, là.

Élisabeth descendit les escalier et se retrouva dans la cuisine. Jake, les cheveux noirs légèrement devant ses yeux bleus, la regarda son rien dire. Elle s'éloigna et sorti de la maison à trois étages. La femme soupira et déclara, pour elle-même :

-La faire confesser sans la brusqué risque d'être difficile...
-Elle va où?
-À l'école. Je te rappelle que nous sommes lundi matin.

Son sac sur le dos, elle se dirigea vers sa nouvelle école. Habillé dans son uniforme, une jupe carotté et une blouse blanche, elle entra dans la battisse de brique rouge. Elle entra, regarda où se trouvait sa classe et y alla. Durant sa disparation, elle avait couper ses cheveux pour qu'il soit long à l'avant, mais très court à l'arrière, assez court pour que la coiffeuse sorte le rasoir
électrique.


Elle marchait, tête baisser, lorsqu'elle fonça dans quelqu'un. Tellement fort qu'elle en tomba. Ses livres tombèrent autour d'elle. Elle entendit la voix de la personne, une voix masculine et sympathique, bafouiller :

-Dé...désolé! J'étais un peu pressé...

Il l'aida à ramasser ses choses et lui tendit. Il avait les cheveux blonds et un visage souriant. Il avait ce physique pas trop musclé, mais en forme, du gars populaire. Ses yeux bruns tentèrent de trouver les vert argenté de l'adolescente. Elle se releva et parti. Confus, il haussa les épaules et s'éloigna dans l'autre direction.

La première cloche sonna. Élisabeth entra en classe, parla un peu avec l'enseignant et s'assit à sa nouvelle place, le dernier bureau à l'arrière, à côté de la fenêtre. À côté du gars blond. La dernière cloche sonna, les rires et les discussions arrêtèrent et toute l'attention se dirigea vers l'enseignant. En fait, l'attention d'Élisabeth était plutôt vers l'extérieur de la classe. C'était un lundi d'automne, le vent souffla ardemment dans les feuilles dont celles-ci tombaient, en suivant le courant aérien. Un bruit attira son attention vers son voisin.

-Pst! Tu as un crayon à me passer?

Sans jamais le regarder dans les yeux, elle lui tendit un crayon et tourna ses yeux vers la fenêtre. Ce n'est pas qu'elle ne le trouvait pas sympathique, mais les évènements étaient encore trop présent dans sa tête. Après une première journée de cours, elle sorti de l'établissement et se dirigea vers la rue. Soudainement, elle reçut une balle derrière la tête. Des murmures commencèrent à apparaître.

-Pauvre d'elle. Elle est leur nouvelle victime.
-Elle n'est pas nouvelle dans l'école en plus?
-J'espère qu'elle tiendra mieux le coup que le dernier.
-Hey! Toi, la nouvelle!


Elle se retourna, son regard froid se tournant vers la dernière voix. Deux gars, sûrement les ''terreurs'' de l'école la regardaient avec un grand sourire mauvais. Elle connaissait se sourire. Il était identique à celui de son père quand il s'apprêtait à battre sa mère. Elle savait déjà son attention.

-Tu te crois bien fière, hein?
-Tu es celui qui se croit fier. Ce n'est pas comme si tu me faisais peur.

Les spectateurs restèrent bouche-bée. Personne n'avait encore osé parlé ainsi aux terreurs. Le plus fort des deux s'approcha d'Élisabeth jusqu'à n'être qu'à quelques centimètres.

D'une voix menaçante, il demanda :

-Je ne te fais pas peur?

-En fais, ton visage me fais peur. Il est tellement proche que je crois que je vais hurlé. dit-elle sarcatisquement.

Il envoya son poing vers le visage indifférent d'Élisabeth. Sans aucun problème, elle arrêta le poing et lui envoya son pied dans le ventre. Le souffle coupé, il se plia en deux. Elle le giffla de son pied en tournoyant. Elle déclara, froidement :

-Essaie un peu de me touché, minable.

Tout le monde était bouche-bée. Elle s'éloigna, sans se soucier qu'elle venait de battre quelqu'un qui faisait peur au plus bas dans l'échelle sociale de l'école. Par contre, l'adolescent au souffle coupé n'avait toujours pas dit son dernier mot. Il allait se venger, de la manière la plus cruelle qu'il pouvait trouvé.

Le soir venu, elle entra dans la maison, ne disant pas un mot, montant à sa chambre et y mangea que rendu à l'intérieur. Elena, la responsable, soupira. Étienne, Jake et les dix autres délinquants ne dirent pas un seul mot.

-Elle doit s'adapter. Je suis sûre qu'elle va finir par manger avec nous.


Elle se leva tristement de la table et ramassa les assiettes sales. Même si une seule mauvaise action pouvait les mettre en prison et qu'ils soient obligés de resté dans le centre, les délinquants, Jake et son groupe d'ami en particulier, voyaient chacun Elena comme une seconde mère. Pour certain, leur propre mère. Quelqu'un qui les écoutait réellement et qui se souciaient d'eux. C'est pourquoi ils baissèrent le regard quand elle quitta la table.

Dans le centre, il y avait un couvre feu. À 9 heure, sauf en cas spécial, chaque délinquant devait être dans leur chambre. Puis, les éducateurs, des hommes qui s'assuraient qu'il n'y ait aucune bataille et qui contrôlait les délinquants les plus dangereux, allaient barré les portes de l'extérieur pour les empêcher de
sortir.


C'était moins pire que la prison, mais ce n'était pas le paradis la nuît. C'était par contre cela ou la prison pour mineur ou les écoles spécialisés, ou autrement dit, les pensionnats pour délinquant et les malades mentaux.

Chaque délinquant avait un dispositif placé sur le haut de la nuque, caché dans les cheveux. Ce dispositif était relier à un émetteur qui, quand il était actionné, envoyait un choc sécuritaire qui paralysait quelque secondes les délinquants. Il était utilisé que lorsqu'ils se battaient avec une envie de meurtre où quand il ne coopérait pas. Tout le monde connaissait cela.

Parfois, c'était ceux qui le méritait le plus qu'il ne l'avait pas.

Jacob était le nom de la terreur de l'école d'Élisabeth. C'était lui qu'elle avait battu sans difficulté dans la cour. Il l'avait suivit, avec Mikey, jusqu'à chez elle, soit le centre. Il savait quel serait son plan pour la faire regretter. Personne ne s'attaquait à lui.

Le lendemain, son plan était prêt. Il avait voler le dispositif du directeur et allait l'utilisé en classe. Si tout le monde savait qu'elle était une délinquante, personne n'allait être son ami. Alors, il aura tout le plaisir de la battre sans qu'elle pense à se défendre.

C'est ce qu'il croyait qu'il allait arriver.

Quand le cours avait commencer, il avait appuyer sur le dispositif. À peine son pouce avait apuyer sur le bouton qu'elle plaqua ses mains sur sa tête et lâcha un cri aïgu.

Ce que Jacob ne savait pas, c'est que le dispositif, quand le son aïgu qu'il créait dans la tête du délinquant devenait trop prolonger, l'agressivité du délinquant doublait, voir triplait jusqu'à détruire tout ce qui est autour de lui pour arrêter le bruit.

Jacob se leva, le dispositif dans la main et s'écria :

-Elle est une délinquante! C'est normal qu'elle sache se battre, elle peut tuer!
-Jacob, arrête imédiatement!

L'enseignant retira le dispositif de la main de la terreur. Élisabeth avait fait lever tout ceux autour d'elle car elle frappait dans les bureaux, les chaises et criait d'arrêter. Elle cassa même la fenêtre de son coude, celui-ci commençant à saigner, sans pour autant l'arrêter dans sa furie.
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Stacy Rockhood

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MessageSujet: Re: Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose   Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose Icon_minitimeDim 12 Avr - 22:32

(Suite du chapitre)

Quand le son cessa enfin, elle tomba
mollement sur le sol, inconsciente. Tout le monde retenait leur
souffle, encore surpris. Aucun d'eux avait déjà vut un délinquant en
furie auparavant. Plusieurs passait devant le centre et savaient qu'ils
pouvaient être dangereux, mais aucun en avait vut faire autant de
dégas. Jacob perdit son sourire triomphant aussitôt. Les murmures
n'étaient pas ceux qu'il avait prévu.


-Pauvre d'elle. Je la plain.
-Ça dois faire mal!Elle a brisé la vitre!
-Professeur! Il faut la porté à l'infirmerie.
-Alex,
va la porter à l'infirmerie et avertie que le dispositif à été utilisé
trop longtemps. Toi, Jacob, tu viens avec moi voir le directeur. Les
autres, replacer la classe et laisser les bureaux et chaises cassés
dans un coin. Le concierge va les ramasser.


Alex,
le blond de la veille, prit le corps inerte de l'adolescente et sorti.
Il se dirigea vers l'infirmerie, pas très loin de la classe. Il entra,
l'infirmière lui ouvrant la porte. Il la déposa sur un lit et se tourna
vers l'infirmière.


-Le dispositif a été utilisé trop longtemps.
-Comment pouvez vous déjà le savoir? Je n'ai rien dit.
-Elena,
la responsable du centre de délinquance, viens tout juste de m'appeler.
Tout les délinquents ont figés en même temps et se tenait la tête. Ce
n'est pas aussi pire qu'Élisabeth, mais ils ont ressentit le bruit.


Levant un sourcil d'incompréhension, Alex demanda à l'infirmière de lui expliqué.

-Chaque
émetteur est relier avec les autres. C'est pour que quand un délinquant
provoque le bruit aïgu qu'il produit dans leur tête, chacun l'entend,
mais moins fort, pour qu'ils puissent ''apprendre'' au responsable de
ne pas recommencer. Un peu quand une personne crée une putinion pour
toute un classe.

-Pour ne pas que ça recommence?
-Exactement.


L'infirmière
plaça un bandage au bras blessé après avoir enlever les morceaux de
vitre coincé dans la peau. Elle ajouta, avec un sourire :


-Puisque
tous les délinquants du centre l'on entendu, je doute qu'ils vont faire
regretter le responsable. Pas seulement pour le bruit, mais aussi parce
qu'Élisabeth fait parti du centre. Même si elle ne se mêle pas à eux,
ils la considèrent comme une des leurs. Surtout Jake...

-Jake?
-Il est le plus dangereux du centre. Il est celui dont un geste peut l'envoyer en prison. Il est plus a risque que les autres.

En parlant du loup...

-C'est qui l'épais qui a fait actionner le dispositif!

Étienne, un gars de taille moyenne et au cheveux noir et rouge, leva à moitié les bras dans les airs et déclara :

-J'ai demandé à tout le monde dans le centre et personne n'est responsable.
-Élisabeth?
-Sûrement.

Jake
passa sa main dans ses cheveux noirs, rouges et mauves récemment
teindu. Ses yeux bleus brillaient. Voilà longtemps qu'il ne s'est pas
défoulé.


-Tu sais quoi?Ça m'étonnerais qu'Éli en soit la cause principale. Je crois plutôt qu'un malin a décidé de venger sur elle.
-Comment tu sais ça? demanda un des cinq gars.
-Elena viens de sortir.

Ils
entendirent un bruit de moteur et virent la voiture rouge de la
responsable se diriger vers le lycée. Jake se leva et déclara :


-Les gars, on doit punir l'épais qui a provoquer ça.

Étienne
se leva, un sourire au lèvre. Karl, un gars au cheveux entièrement
rouge et au yeux noirs, se leva à la suite, craquant ses jointures.oe
et Jim, deux jumeaux au cheveux chatain et au yeux bruns, riairent d'un
même rire en pensant au plaisir qu'ils auront. Se dirigeant vers la
voiture de Jake, les cinq adolescents se réjouissait déjà.


Elena
ne passa pas plus de cinq minute à l'école. Elle laissa Alex, le garçon
qui se trouvait avec l'infirmière, porter Élisabeth jusqu'à la voiture.
Peu de temps après, elle se retrouvait au centre, avec un des
éducateurs qui l'attendait. Il sorti Élisabeth et la rentra dans sa
chambre. Elena se plaça à son chevet et attendit qu'elle se réveille.


Jake
et sa gang se trouvèrent enfin devant l'école, caché derrière le muret.
Jake sorti, seulement suivit des deux jumeaux. Un premier groupe de
fille sorti de la cour. Joe et Jim les arrêtèrent. Jake était caché
dans l'ombre de l'après-midi. Jim demanda :


-Est-ce que vous connaissez un fille avec des cheveux courts noirs...
-...avec un air solitaire? continua Joe.
-C'est Élisabeth?
-Exactement! dirent les deux jumeaux.

Quelques unes des filles gloussèrent. Celle qui avait répondu dit :

-Elle est partie il y a un bout. Jacob, un gars dans sa classe, a actionné un émetteur qu'elle a sur la nuque.
-Qui est ce Jacob?
-C'est lui, là-bas.


Elle
le pointa, sourit, fit un clin d'oeil et s'éloigna avec son groupe
d'amie. Les deux jumeaux la saluèrent et fit signe à Jake. Il
s'approcha et vit Jacob. Il semblait frustré. Jake attendit qu'il
s'approche avant de lui couper la route, suivit par Jim et Joe.


-Qu'est ce que tu me veux!

Jacob
était à peine plus petit que Jake, mais le délinquant était bien deux
fois plus imposant. Alex, assitant au spectable avec son groupe de
copain, savait déjà ce qui allait arrivé.


-C'est toi Jacob?
-Ouais, et?

Jake sourit et l'attrapa par le collet. Il sourit, accompagné par les deux jumeaux.

-Moi,
c'est Jake. Tu sais, le plus dangereux délinquant du centre de
coin...Tu sais la meilleure? Ta connerie a résonné dans le tête des
trentre délinquants du centre. Tu sais pas à quel point j'ai envie de
te tuer, vieux.

-Si tu le fais, tu vas en prison.

Jake regarda Jim, puis Joe et éclata de rire, suivit par les jumeaux. Tous les étudiants autour restaient silencieux.

-Écoute, Jacob. Tu voit, ça?

Il pointa le pansement sur son nez.

-C'est
Éli qui me l'a fait. Elle m'a carrément cassé le nez. Jamais quelqu'un
n'avait osé s'attaqué à moi. Slors, tu crois que c'est un minable comme
toi qui fait dans ses pantolons qui va m'empêcher? C'est ni les flics,
ni personne qui va m'empêcher de te refaire la face.


Il le lâcha et lui envoya son poing au visage.

-Tu
sais pourquoi on peut pas m'arrêter? Parce que dès que ça conserne
l'émetteur, je peux faire ce que je veux avec les épais dans ton genre.


Il lui envoya son pied au visage, le faisant saigner du nez. Il ramassa son collet de derrière et ajouta :

-C'est
comme...quand un gars donne une pénalité à son équipe. Ses coéquipier
le tue du regard. La seule différence, c'est que nous, on les bat pour
leur faire apprendre. C'est ça la vie d'un délinquant. Tu aurais du y
penser deux fois avant de touché le dispositif.


Il
lui envoya son genou contre le menton, le retenant par le collet. Il
laissa tomber Jacob, en sang, et sourit. Les deux jumeaux applaudirent.


-Ça lui apprendra de se foutre de moi!
-Ouais! Super beau coup, Jake! s'écria Jim.
-Ça valait la peine de venir! ajouta Joe en regardant Jacob au sol.

Jake
s'éloigna, accompagné des jumeaux. Les mais dans les poches,
l'adolescent savourait le moment. Mikey courut vers Jacob et les
spectateurs, muet, brisèrent le silence.


-T'as vu? Il l'a massacré!
-On devrait l'aider?
-Non! Il le mérite.

La
foule s'éloigna. Alex haussa les épaules et éclata de rire. Il était
temps que quelqu'un venge tous ceux qui avait souffert à cause de lui.
Quand il quitta la cour, la voiture était partie. Ils étaient venu
''corrigé'' le responsable, ils n'avaient plus rien à faire là.


Élisabeth
se réveilla avec un affreux mal de tête. Elle tenta de le lever en
poussa sur son coude, mais la douleur la fit tomber.


-Reste couché, Élisabeth. Ton bras est encore blessé.

Elle se souvint. La douleur qui avait transpercer son cerveau. Elena sourit, compatissante.

-Ça va allez. Repose toi. Le médecin s'en vient.

Le
médecin arriva aussi rapidement qu'il reparti. Élisabeth ne risquait
rien du tout. Le lendemain, elle pourra ressortir sans problème. Elle
reçut par contre un billet qui lui empêchait de faire de l'éducation
physique. Son bras blessé allait prendre du temps à guérir.


Elena
sorti, alors que Jake s'accota contre le cadre de porte.Dès qu'elle le
vit, elle prit son oreiller et se le mit sur le visage. Jake pouffa de
rire et entra dans la pièce. Il s'assit sur la chaise qu'Elena avait
utilisé un peu plus tôt. Élisabeth souleva un peu son oreiller et dit,
d'une voix menaçante :


-Qu'est ce que tu me veux?
-Je me sens presque aimé...

Elisabeth ne dit rien.

-Tu
vas resté ici pendant longtemps. Aussi bien te faire à l'idée que tu es
considéré comme délinquante. Tout ceux qui habite ici s'entraide et
considèrent Elena comme une mère. Même si tu nous aimes pas, fais toi déjà à l'idée que l'on va t'aider quand on le pourra.


Il s'étira et rajouta, avec un sourire :


-Ce Jacob a déjà regretter ses actions...
-Quoi!

Elle se leva d'un bon, regardant Jake dans les yeux.

-Tu
sauras, Éli, que quand ton émetteur sonne, chaque émetteur du centre
sonne. C'est désagréable autant pour toi, que pour moi et les autres.
Mon moyen de faire comprendre à un imbécile qu'il l'est, c'est de lui
faire mal. Si tu le pardonnes déjà pour le bras en sang que tu as,
n'hésite surtout pas à lui dire, je suis sûr qu'il va être ravi.


Il se leva et sorti, toujours un sourire mauvais au lèvre. Elle resta figée là, quelque instant et se laissa tombé sur le lit.
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MessageSujet: Re: Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose   Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose Icon_minitimeDim 12 Avr - 23:05

CONTINUE! JE veux le chapitre 2!!!
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MessageSujet: Re: Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose   Délinquance, L'histoire d'Élisabeth Larose Icon_minitime

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